Ce blogue a pour objectif de vous montrer, via des articles de fond, les comportements en ligne des consommateurs selon leur culture. Ce blogue a été réalisé à des fins de recherches.

jeudi 9 juillet 2015

La Nouvelle-Zélande contre le harcèlement en ligne

Cette décision n'est pas nouvelle, dans plusieurs pays occidentaux, ne nombreux moyens ont été mis en place afin d'éviter le harcèlement en ligne.
 
La Nouvelle-Zélande a décidé ainsi de suivre cette voix là, en adoptant une loi qui légifère le harcèlement en ligne, la diffamation, les menaces, les incitations aux suicides, les propos offensants (sur la personne, sa religion, son handicap...) pouvant causer de fort désagréments émotionnels.
 
Afin de lutter contre cela et la discrimination, la loi impose aux leaders du Web, c'est à dire à Google, Facebook et Twitter, d'assurer un contrôle constant des activités de leurs internautes. En effet, ils sont responsables de la gestion  des massages des utilisateurs. Dans le cas de propos diffamatoires, les internautes ont 24h pour les enlever, dans le cas contraire, ce sera aux entreprises à les retirer de force. Les réseaux sociaux ont déjà été contraint de réguler les publications sur leurs plateformes, lors des harcèlements djihadistes.
 
Tous les internautes énonçant des propos, pouvant causer de troubles psychologiques et émotionnels, peuvent être passibles de 50 000 dollars néo-zélandais  d'amendes et de 3 ans de prison dans le cas d'incitations au suicide.
 
Il est plus facile en ligne, d'établir un groupe hostile, en regroupant des citoyens ensembles qui se battent pour les mêmes causes et les mêmes convictions. "Le monde virtuel est la continuité du monde physique". Beaucoup d'internautes pensent que ce qui se passe en ligne n'est pas réel, ce qui engendre donc des comportements irresponsables et déviants envers les minorités.
 
Ainsi, comment les géants du Web vont-ils continuer à lutter contre cela?
 
 
 

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